vendredi 7 novembre 2014

Les 8 présidents africains les plus riches


Il est très difficile d’évaluer la richesse d’un Président. En plus de son salaire, un Président peut disposer de nombreux avantages en nature tels qu’un logement, des voitures ou autres cadeaux de valeur. Le magazine américain Richest Lifestyle a estimé la fortune des présidents africains les plus riches sur la base d’informations collectées de Forbes.com, ForeignPolicy.com, Cabinda.net et CelebrityNetWorth.com.

1. José Eduardo dos Santos – 15,8 milliards d’euros (Angola)
José_Eduardo_dos_Santos_2


2. Mohammed VI – 2 milliards d’euros (Maroc)
Mohammed_VI

3. Teodoro Obiang Nguema Mbasogo – 474,5 millions d’euros (Guinée Équatoriale)
Teodoro_Obiang


4. Uhuru Kenyatta – 395,4 millions d’euros (Kenya)
Uhuru_Kenyatta_UNDP_2009

5. Paul Biya – 158,2 millions d’euros (Cameroun)
Paul_Biya_with_Obamas_cropped


6. Mswati III – 79,1 millions d’euros (Swaziland)
King_Mswati_III_with_Obamas_cropped

7. Idriss Déby – 39.5 millions d’euros (Tchad)
Idriss_Deby_Itno_IMG_3617


8. Robert Mugabe –  7,9 millions d’euros (Zimbabwé)
Robert Gabriel Mugabe, president of the Republic of Zimbabwe, sits in the Plenary Hall of the United Nations (UN) building in Addis Ababa, Ethiopia, during the 12th African Union (AU) Summit.

Les salaires très surprenants de nos présidents. Lequel vous choque le plus ?

Diriger un pays n’est pas une tâche facile. Afin d’être dans les meilleures conditions nécessaires pour accomplir leurs devoirs, les chefs d’État profitent de beaucoup d’avantages tels que la résidence présidentielle, les voitures, avions, ou même, hélas, une caisse noire pour certains.  En Afrique, le salaire présidentiel déclaré le plus élevé est de 19 765 euros par mois, et celui le plus modeste est de l’ordre de 246 euros par mois.
Ces salaires “officiels”, surprennent évidemment par leur faiblesse et il y a lieu de contester la véracité de ces informations. 

AFRIQUE DU SUD

Jacob Zuma

19 765 euros par mois

Jacob_Zuma_2014_(cropped)

RÉPUBLIQUE DU CONGO

Dennis Sassou Nguesso

7622 euros par mois

Denis_Sassou_Nguesso_detail_DF-SC-88-01606

LIBYE

Ali Zeidan

7 345 euros par mois

Ali_Zeidan_at_US_State_Department_2013

CÔTE D’IVOIRE

Alassane Ouattara

7300 euros par mois

Alassane_Ouattara_UNESCO_09-2011


RWANDA 

Paul Kagamé

6 000 euros par mois

Paul_Kagame_New_York_2010

LIBÉRIA

Ellen Johnson Sirleaf

5 470 euros par mois

Brasília ? O presidente Luiz Inácio Lula da Silva recebe a presidente da Libéria, Ellen Johnson-Sirleaf, no Palácio Itamaraty

MALI

Ibrahim Boubacar Keita

5 335 euros par mois

Ibrahim_Boubacar_Keïta_par_Claude_Truong-Ngoc_décembre_2013_(cropped)

GABON

Ali Bongo Ondimba

4 573 euros par mois

Ali_Bongo_Ondimba_at_Chatham_House_2012

RDC

Joseph Kabila, 

4 000 euros par mois

838px-Joseph_kabila

ANGOLA

Jose Eduardo Dos Santos, 

3 617 euros par mois

José_Eduardo_dos_Santos_3_(cropped)

BURKINA FASO

Blaise Compaoré,

2 545 euros par mois

Blaise_Compaoré
 

GUINÉE

Alpha Condé, 

1 696 euros par mois

AlphaCondé
 

NIGERIA

Goodluck Jonathan, 

1 300 euros par mois

512px-Goodluck_Jonathan_World_Economic_Forum_2013


ZIMBABWE 

Robert Mugabe, 

1 284 euros par mois

Robert Gabriel Mugabe, president of the Republic of Zimbabwe, sits in the Plenary Hall of the United Nations (UN) building in Addis Ababa, Ethiopia, during the 12th African Union (AU) Summit.

TUNISIE

Moncef Marzouki, 

1 200 euros par mois

Moncef_Marzouki2

 

SÉNÉGAL

Macky Sall, 

1 145 euros par mois

Macky_Sall_


OUGANDA

Yoweri Museveni, 

1 076 euros par mois

London, 11th July 2012. London Summit on Family Planning


SIERRA LEONE

Ernest Bai Koroma, 

757 euros par mois

Ernest_Bai_Koroma_(crop)


ÉTHIOPIE

Hailemariam Desalegn,

246 euros par mois

691px-Hailemariam_Desalegn_-_Closing_Plenary-_Africa's_Next_Chapter_-_World_Economic_Forum_on_Africa_2011
Source : http://www.afrizap.com/les-salaires-tres-surprenants-de-nos-presidents-lequel-vous-choque-le-plus-2/#ixzz3IOOCXITZ

mardi 2 septembre 2014

Coupe du monde de Basket: Après sa victoire sur le Porto Rico, le Sénégal réalise un exploit retentissant face à la Croatie !

Gorgui Dieng sénégalPublié par : Christophe Brouet septembre 1, 2014 , 2:28 dans Coupe du Monde

Exploit incroyable du Sénégal qui s’impose face à la Croatie 77-75 après un match héroïque parfaitement maitrisé! Ils ont mené quasiment l’intégralité du match dans le sillage d’un énorme Gorgui Dieng auteur de 27 points, 8 rebonds, 3 passes, 2 interceptions et 2 contres. Il a été bien aidé par les 15 points de Xane D’Almeida et les 11 de Mouhammad Faye
En début de match les Croates ont usé de drives et de jeu à l’intérieur et à la faveur d’un excellent départ ils ont pris logiquement les commandes 13-6. Les Sénégalais ont alors haussé le ton en défense et grâce à la présence de Gorgui Dieng et Mouhammad Faye à l’intérieur et au rebond offensif ils ont recollé à 13-13. Puis sur le deuxième shoot à trois points du quart temps de Xane D’almeida qui évolue à Tarbes-Lourdes en N1, le Sénégal a même pris les devants 18-16.
Le Sénégal a débuté le second quart sur la même lancée en poursuivant sa série pour un 8-0 (24-16) grâce à une domination physique, une belle circulation du ballon autour de la pièce maîtresse Dieng et une défense très solide gênant énormément l’attaque croate. Roko Ukic et Bojan Bogdanovic ont répondu pour ramener la Croatie à 25-28, mais Dieng a tenu la baraque pour le Sénégal qui a résisté lors des 7 premières minutes du quart (31-29). Et c’est le Sénégal qui a fini parfaitement la première période sur un 11-4 pour prendre 9 points d’avance après en avoir compté 10 !
A la pause Dieng comptait déjà 16 points, 7 rebonds et 3 passes. Les Croates ont été dominés physiquement en laissant 8 rebonds offensifs et ont perdu  7 ballons sur 6 interceptions des lions rouges.
La Croatie est revenue clairement avec de meilleures intentions en seconde mi-temps avec plus grande intensité défensive et un pressing rendant la circulation du ballon difficile pour le Sénégal. Ces derniers ont perdu quelques ballons et les Croates en ont profité pour revenir à 41-36, mais les lions n’ont pas paniqué et ont conservé leur avance grâce à Maleye N’Doye et Hamady N’Diaye 46-39. Boganovic et Saric ont remis les leurs à un petit point sur un 6-0 auquel le Sénégal à répondu avec notamment un énorme shoot au buzzer de la possession D’Almeida pour reprendre 8 points de marge et entamer finalement le dernier acte avec un petit matelas de 7 points 59-52.
La Croatie a continué de mettre la pression et une nouvelle fois a refait son retard mais sans jamais pouvoir passer devant, 64-62 à 5 minutes du terme. Dieng a alors répondu par un 4-0 pour donner un peu d’air aux siens avant que Bojan Bodganovic n’enchaîne lui cinq points pour réduire l’écart à un point 70-69 avec deux minutes à jouer. Et c’est bien sûr Dieng qui a pris ses responsabilités pour garder les siens devant et la Croatie a gâché quelques occasions de revenir à trois points et à 30 secondes du terme l’avance était de 4 points 73-69. 30 dernières secondes stressantes pour les supporters des lions puisque Lafayette a marqué à trois points permettant aux Croates de continuer d’y croire. Mais D’Almeida et N’Doye n’ont pas craqué sur la ligne des lancers alors que les Croates ont eux raté plusieurs shoots à trois points pour revenir, le dernier signé Lafayette dans la dernière seconde arrivant trop tard.
La Croatie a haussé le ton trop tard et le Sénégal n’a pas paniqué s’appuyant sur Dieng à l’intérieur et sur leur domination physique. Le Sénégal s’assure presque une place en 8ème avec ce succès qui est sans doute le plus bel exploit de leur histoire.
séné Croatie

Ebola : le mensonge généralisé pour un business trés lucratif

Ebola : le mensonge généralisé


Ebola : le mensonge généralisé
Alors que le journal Le Monde parle quotidiennement de « ravages » et de « catastrophe », la réalité est que l’épidémie de virus Ebola reste d’ampleur très modeste.
La presse parle de 1229 morts entre mars et août 2014 sur l’ensemble de l’Afrique, et encore ce chiffre n’est-il pas exact.
Si vous vous rendez sur la page du site de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) traitant du sujet, vous vous rendez compte qu’il y a en fait 788 décès formellement identifiés comme causés par le virus Ebola. Les autres sont des cas « suspects » ou « probables ». [1]
Ce sont bien sûr 788 morts de trop, mais il faut comparer aux 1,2 MILLION de morts causés annuellement par le paludisme [2], ou aux 2000 morts causés annuellement en France par la grippe saisonnière. [3]

Très peu de contagion

Les images de soignants portant des masques et des combinaisons intégrales pour s’approcher des malades suspectés sont insensées et dignes d’un mauvais film de science-fiction.
Car le virus Ebola ne se transmet absolument pas si facilement :
« Il faut un contact direct avec un liquide biologique comme le sang, les selles, les vomissures. Il n’y a aucune transmission par voie aérienne. C’est-à-dire que, lorsqu’une personne parle ou tousse, elle ne répand pas le virus Ebola dans l’air ambiant. » explique le Pr Bruno Marchou, chef de service des maladies infectieuses et tropicales de l’hôpital de Purpan, à Toulouse. [4]
Autrement dit, le virus Ebola est comparable au SIDA pour son mode de propagation. Il faut vraiment être au contact du sang ou du liquide biologique du malade pour risquer soi-même d’être contaminé.
Cela veut dire, toujours selon le Pr Bruno Marchou, que le virus Ebola :
« n’atteindra pas le stade pandémique. À Conakry (capitale de la république de Guinée), ils avaient initialement plusieurs dizaines de cas parmi le personnel hospitalier. Ils ont réussi, en appliquant des mesures d’hygiène standard simples, à endiguer la propagation du virus parmi leur personnel. »
Ces mesures d’hygiène n’ont rien de sorcier : « Quand on s’occupe d’un patient, on se couvre les mains avec des gants. Si le patient vomit, il faut aussi se couvrir le visage. C’est le b.a-ba. On fait ça tous les jours. » continue-t-il.

«La mort dans 20 à 90 % des cas »

Sandrine Cabu, de Médecins Sans Frontières, interrogée par Le Monde, explique que le virus Ebola entraîne « la mort dans 20 à 90 % des cas ».
Pourquoi une fourchette aussi absurdement large ?
Parce que le virus Ebola est surtout dangereux quand il est mal soigné. Les personnes meurent de déshydratation ou d’hémorragies mais le traitement consiste alors simplement à hydrater ou à transfuser le patient, pas à lui donner un vaccin ni un hypothétique médicament. Il ne faut pas croire ce que prétend l’industrie pharmaceutique qui aimerait pouvoir vendre aux gouvernements une poudre de perlimpinpin comme elle l’avait fait pour le Tamiflu.

« Les nouveaux médicaments ne sont pas la solution contre Ebola », selon un expert en maladies infectieuses

La solution contre l’épidémie consiste à respecter des mesures simples et de bon sens : hygiène, bonne nutrition, vitamine D, vitamine C.
Selon Anthony Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses des Etats-Unis, l’outil le plus efficace contre Ebola est de prodiguer les soins de base aux malades.
« La véritable priorité devrait être de créer des infrastructures médicales dans les pays touchés pour fournir aux malades le soutien médical de base comme l’hydratation et la transfusion sanguine. Cela aura un beaucoup plus gros effet sur la santé que la distribution au hasard de quelques médicaments expérimentaux. » [5]
Selon Thomas E. Levy, auteur d’un article récent sur les remèdes potentiels contre le virus Ebola [6] :
« Jusqu’à présent, il n’y a pas un seul virus testé qui n’ait pas été inactivé par une certaine dose de vitamine C. Un des moyens prioritaires pour détruire le virus, ou programmer sa destruction par le système immunitaire, est d’activer la “réaction de Fenton”. En un mot, cette réaction peut se produire à l’intérieur du virus, dans les cellules où les virus se répliquent et à la surface des virus eux-mêmes. »
Il n’y a donc aucune raison de suspecter le virus Ebola de se transformer brutalement en une pandémie à l’échelle de l’Afrique, et encore moins dans le reste du monde.
Mais il n’y aucun doute que cette psychose peut servir les intérêts financiers de quelques-uns.

Semer la panique : un business très lucratif

La panique autour du virus Ebola rappelle évidemment la grippe aviaire de 2005 et la grippe porcine (H1N1) de 2009.
Ces deux « pandémies imminentes » ont été l’occasion de manipuler grossièrement les opinions publiques pour justifier la vaccination en masse des populations, qui s’est révélée entraîner de terribles effets secondaires, dont la narcolepsie, un très grave trouble du sommeil. [7]
En 2009, l’Organisation Mondiale de la Santé a prédit qu’un tiers de la population mondiale pourrait être touchée par la grippe H1N1, avec des effets incalculables. La ministre de la Santé Roselyne Bachelot n’avait alors pas hésité à commander 94 millions de vaccins ! Les Français n’ayant été que 6 millions à se faire vacciner, Mme Bachelot avait, dès le mois de janvier 2010, annulé auprès des laboratoires pharmaceutiques la livraison de 50 millions de doses et fait verser par l’Etat en dédommagement près de 48 millions d’euros aux laboratoires. [8]
Quant au fameux médicament antiviral « miracle », le Tamiflu, son effet réel n’est que de réduire la durée des symptômes de moins d’une journée, sans limiter d’aucune façon les hospitalisations. Une étude britannique a conclu que la distribution de Tamiflu contre la grippe H1N1 a eu pour seul effet de… gaspiller 500 millions de Livres sterling.
En effet, la saison de grippe 2009 se révéla finalement moins grave que d’habitude, malgré la présence de la souche H1N1. De plus, de nombreux prétendus cas de grippe H1N1 se révélèrent ne même pas être des grippes mais de simples rhumes, ce qui n’est pas sans rappeler ce cas de virus Ebola à Berlin qui s’est finalement révélé être… une gastro. [9]

Jouer avec le feu

Toutefois, les titres excessifs martelés par la presse sont à mon avis très dangereux :
« Une épidémie absolument pas sous contrôle, sans précédent », Médecins Sans Frontières, le 30 juillet 2014. [10] [11]
« Le virus Ebola continue de dévaster l’Afrique de l’Ouest », Le Monde, 15 août 2014. [12]
« L’OMS décrète une urgence de santé publique de niveau mondial », France 24, le 20 août 2014. [13]
Cette psychose est en train de semer la pagaille en Afrique, où des gouvernements sont ni plus ni moins en train de fermer les frontières, mobiliser les armées pour réprimer les populations, et même isoler sans raison des dizaines de milliers de malheureux, hommes, femmes, vieillards et enfants mis en quarantaine dans un bidonville du Libéria, sans nourriture ni eau. [14]
« Pour espérer contenir l’épidémie de fièvre hémorragique Ebola qui fait rage au Liberia (…) le gouvernement prend des mesures draconiennes. Deux quartiers de la capitale, Monrovia, ont été placés en quarantaine et sous surveillance sécuritaire, alors que dans le reste du pays, un couvre-feu a été instauré. », Le Monde du 22 août 2014.

« Tirer à vue »

Dimanche 24 août, on apprenait que, au Sierra Leone :
« Le parlement a adopté un projet de loi qui interdit d’héberger des malades. Les contrevenants sont passibles de deux ans de prison. [15] »
Lundi 25 août, pire encore : le gouvernement du Libéria ordonne à ses soldats de « tirer à vue » sur les personnes qui chercheraient à passer la frontière, soit disant pour empêcher l’épidémie de se progager ! [16]
Ces réactions totalement excessives risquent de provoquer une vraie catastrophe humanitaire, bien plus grave que le virus Ebola lui-même.
Des mesures commencent également à être prises contre les Africains au niveau international :
« Au niveau international, les citoyens de ces pays font l’objet d’une quarantaine de plus en plus stricte avec la fermeture des frontières, la suspension des vols de la plupart des compagnies aériennes qui les desservaient, le rapatriement des membres des familles du personnel diplomatique dans ces pays, l’annulation de conférences internationales, la délocalisation d’événements sportifs, etc. » note Rue 89. [17]
En Corée, de véritables réactions racistes éclatent contre les Africains, interdits d’entrer dans certains magasins. [18]

Le mythe du passager infecté dans l’avion

À écouter les autorités et nos journalistes, on croirait qu’une épidémie de virus Ebola peut se déclencher à tout instant en Europe : il suffirait que débarque un Africain touché par la maladie arrivé par avion.
Cette hypothèse est parfaitement irréaliste. Elle ne traduit qu’une ignorance complète de ce qu’est réellement le virus Ebola.
Ne succombons ni à la psychose, ni à une forme de racisme qui ne dit pas son nom.
L’épidémie de virus Ebola ne sera correctement endiguée en Afrique que si toute violence et toute mesure répressive cesse. Qu’on laisse chaque patient être pris tranquillement en charge par un personnel ayant une formation médicale de base, et prenant les mesures d’hygiène évidentes.
N’envoyons ni cargaisons de vaccins en Afrique, ni médicaments. Cela ne servirait qu’à enrichir les laboratoires pharmaceutiques et à provoquer des dégâts bien plus graves par les effets secondaires de ces médicaments.
À votre santé !
Jean-Marc Dupuis

Pour en savoir plus, cliquez ici : http://www.santenatureinnovation.com/ebola-le-mensonge-generalise/#ixzz3CA0p9gco

vendredi 22 août 2014

L’ Espagne émue par un bébé migrant, de mère sénégalaise, arrivé seul sur les côtes espagnoles

 
C'est "grelottante dans des vêtements trempés et sans ses parents" que les secouristes espagnols ont découvert une fillette de quelques mois parmi les occupants d'un canot gonflable parti du Maroc pour rejoindre l'Europe dans la nuit du 12 août, raconte le journal El Pais.

L'arrivée d'enfants sur les rivages du sud de l'Espagne n'est pas rare. Parmi les onze migrants présents dans l'embarcation de fortune, il y avait deux autres bébés, et deux femmes enceintes. Mais pour la première fois, la fillette est arrivée seule. Sans papiers et sans parents. "Je l'ai prise dans mes bras pour la sortir du bateau et quand tous les autres sont descendus, nous avons réalisé qu'elle était seule", a raconté une bénévole de la Croix-Rouge au quotidien La voz de Galicia.

Pendant plusieurs jours, le bébé de 11 mois, dont le sort émeut l'Espagne, a été appelée "Princesse", car "les bénévoles et les secouristes refusaient de la rebaptiser". El Pais, alors fataliste, considérait que la petite allait "se retrouver dans un centre de rétention pour enfants".

Rapidement, "les autres occupants du bateau ont raconté que la famille du bébé avait essayé de monter dans l'embarcation mais qu'une altercation avec les gendarmes marocains les en avait empêchés", relate le quotidien La Razón dans l'un des nombreux articles consacrés par la presse espagnole à celle dont "le visage est devenu l'incarnation de la crise". Le bateau était finalement parti sans eux.

Le 18 août, ses parents ont finalement pu être localisés et "Princesse" – exceptionnellement placée en famille d'accueil – a retrouvé son nom : Fatima. Mais l'histoire ne s'arrête pas là pour autant. Le couple, une Sénégalaise de 33 ans et son époux originaire de Gambie, "est entré de manière illégale sur le territoire marocain", comme la grande majorité des candidats à la traversée du détroit de Gibraltar. Et cela, souligne El Pais, rend la procédure de regroupement familial "extrêmement compliquée".

Selon le quotidien, "c'est maintenant le gouvernement qui a le dernier mot pour solliciter le rapatriement de Fatima vers le Maroc ou, surtout, pour permettre aux parents de Fatima de rejoindre l'Espagne".

Face à ce "billard administratif compliqué à plusieurs bandes", le journal évoque néanmoins la possibilité que "les parents tentent une nouvelle fois la traversée". En 2012, au moins 225 migrants avaient trouvé la mort en essayant d'effectuer les 15 km qui séparent le Maroc des côtes du sud de l'Espagne, sur des bateaux de fortune.
 Auteur:  Le Monde

Disparus en haute mer : Les 2 containers d’armes réapparaissent à Hann

C’est une découverte pleine de questions : Deux containers remplis d’explosifs ont dérivé sur la Baie de Hann. En attendant les investigations, certains interlocuteurs pensent qu’ils faisaient partie de la cargaison du navire tanzanien Sea Soul 1 qui avait coulé 38 de ses 40 containers d’armes aux larges de Gorée.

Les populations sont transies de peur : Deux containers de 16 pieds contenant des dispositifs explosifs ont dérivé vendredi dernier sur la baie de Hann.  Cette découverte a complètement mis les habitants dans une situation de trousse généralisée à cause de la proximité des habitations  avec les produits inflammables.  

Aujourd’hui, cette découverte est pleine de mystères : Comment ces containers  bourrés d’explosifs ont pu échouer sur la plage ? D’après certaines sources, ils feraient partie de la cargaison d’armes coulée vers Gorée la semaine dernière. Le Quotidien avait révélé que le navire tanzanien Sea Soul 1 avait à son bord 40 containers de fusils et de munitions, destinés au Mali et qui devaient transiter par le Sénégal. Après le décompte, on avait remarqué que deux containers avaient disparu après le naufrage. En attendant de trouver les réponses à ces questions, les autorités continuent de sécuriser le périmètre de la Baie de Hann pour soulager les «Hannois» qui avaient «importé» le danger chez eux. 

De couleur grise, l’un des containers emporté par une houle en haute mer a été roulé par les grosses vagues dans tous les sens. La serrure de sécurité, qui ne pouvait plus résister, a sauté. Finalement, son contenu s’est déversé sur la plage vers 18 h dans la journée du vendredi. L’autre est resté intact malgré les pressions des vagues. Mais, il renfermait les mêmes produits explosifs. On a craint le pire : Car c’est une zone industrielle qui est prête à exploser à chaque étincelle. 
Etreintes par la conjoncture, les populations ont très vite pris d’assaut le container pour le vider de son contenu en croyant qu’il contenait des ravitaillements perdus en haute mer par des bateaux de pêche, sans mesurer le danger. Elles ont transporté dans les concessions des fûts sur lesquels il est, pourtant écrit : Attention explosif.  Entre temps, la nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre dans ce village. Informés, les responsables de la localité se sont déportés sur les lieux pour avoir le cœur net sur le contenu des deux containers. 

Mbacké Seck, directeur exécutif Hann Bay Kepper, plus connu sous le nom Sentinelle de la baie de Hann, a pris le risque de vérifier le contenu des fûts avant de se rendre compte qu’il a en face de lui des produits explosifs. Il lance rapidement l’alerte à travers des coupoles des mosquées en demandant aux populations d’évacuer de leurs domiciles les produits explosifs. «Nous avons averti la gendarmerie qui est venue sécuriser le périmètre. Les populations croyaient qu’il s’agissait du mil», soutient M. Seck. Alertés, les éléments fran­çais au Sénégal ont envoyé des équipes de déminage. Le Capitaine Noba inspecte les lieux et photographie les containers suspects. Ferme, il donne l’ordre aux populations  d’évacuer la zone: «Car ça peut exploser à tout moment.» Sur place, la gendarmerie, l’Armée, et une équipe du ministère de l’Environ­nement rassurent les résidents en évacuant le  contenu des deux containers suspects vers des lieux inconnus.
Auteur:  Abdou Latif MANSARAY

jeudi 31 juillet 2014

4e championnats du monde Viet Vo Dao : Les Lions décrochent 6 médailles d'or dont deux pour le valeureux capitaine et champion du monde David Gerald Ndiogoye

4e championnats du monde Viet Vo dao : Les Lions décrochent 6 médailles d'or













28/07/14
 
Les Lions ont frappé fort aux 4e championnats du monde de vovinam viet vo dao bouclé ce weekend end en France. Malgré la délivrance tardive des visas, ils ont fait parler leur talent en décrochant 9 médailles dont 6 en or, 2 en argent et 1 en bronze
Le capitaine David Gerald Ndiogoye a montré la voie avec 2 or, devant Aminata Yacine Samb (1 or), Abdoulaye Aw (1 or), Mouhamadou Fallou Ndour (1 or) et Aminata Tall (1 or).
Les deux médailles d’argent sont accrochées au cou d’Elimane Gueye et le métal bronzé est à l’actif de Mouhamed Lactif Diédhiou. Cette moisson est meilleure que les récoltes précédentes avec 3 or, 2 argent et 3 bronze en 2010 en Allemagne, et 3 or en 2006 en Algérie.
Les Lions, classés 4e dernière la France, La Belgique et le Burkina Faso, regagnent Dakar ce soir.

Source : Waasports



RÉACTION: Attention, cet homme est un mystificateur dangereux!


Face à la presse, le mardi 29 juillet 2014, Monsieur Idrissa Seck a tenu les propos suivants: « J’avais dit à Karim Wade : ‘De Adama à Muhammad, le seul prophète crucifié, c’est Jésus, celui dont on a dit que c’est le Fils de Dieu. Si tu joues avec les outils de ton père, tu seras crucifié. Je lui avais dit ça’ ». Hippolyte Seck réagit.
 
La première fois que vous êtes apparu à la chaine de télévision nationale, juste après l’une de vos nominations, aux premières années de la fameuse «alternance», vous  sembliez rassurant, avec des qualités de rassembleur.
 
Lors de cette toute première interview faite chez vous dans votre salon,  vous aviez même sorti une Bible, que vous brandissiez fièrement en disant que chaque matin vous lisiez les Psaumes de David et que vous aviez fait votre cursus scolaire au Collège Saint Gabriel de Thiès, où chaque matin avant le début des cours tout le monde, vous inclus bien sûr, récite le « Notre Père » et le «Je Vous Salut Marie». Vous aviez même servi une illustration lors de cette même interview pour étayer vos propos. Etait-ce de la comédie ou de la fanfaronnade? J’aurai vraiment aimé que vous puissiez répondre à cette question. 
 
C’est vous, la même personne aujourd’hui, qui revenez prononcer ce discours blessant et qui offense notre sensibilité religieuse. Je vous admirais et me disais que vous aviez l’étoffe d’un dirigeant, car l’un des critères les plus remarquables et les plus symboliques, je dirai même le plus important chez un dirigeant, c’est sa capacité à pouvoir rassembler son peuple, quelle que soit l’appartenance ethnique ou religieuse de ses concitoyen. Il doit être en mesure de pouvoir les rassembler autour d’un même idéal.
 
 Mais aujourd’hui je me sens blessé, indigné, j’ai le cœur meurtri par les propos que vous avez tenus, le 29 juillet 2014 à Thiès. Vous n’aviez pas besoin d’insulter la foi des autres ni de faire des comparaisons inexistantes, inappropriées et hasardeuses. 
 
Un leader, un dirigeant doit prôner la paix, respecter les autres dans leur croyance, véhiculer un discours unificateur. Trop c’est trop ! Jusqu’à quand allez-vous continuer à insulter, minimiser notre religion ? Comment osez-vous comparer Karim Wade à Jésus Christ ? N’avez-vous pas eu un temps de réflexion ? Votre intelligence ne devrait-elle pas vous pousser à faire une analyse beaucoup plus profonde? 
 
« J’avais dit à Karim Wade : ‘De Adama à Muhammad, le seul prophète crucifié, c’est Jésus”, avez-vous déclaré. En plus, vous ajoutez : «Celui dont on a dit que c’est le Fils de Dieu ». A vous entendre, vous insinuez que Jésus se faisait passer pour Dieu en jouant avec les outils de Dieu (son Père) et que donc il a été crucifié à raison. C’est vraiment scandaleux et irritant. Seul un mystificateur est capable de se livrer à une telle gymnastique…
 
Vous pouvez ne pas croire en Jésus Christ ou en notre religion, ce n’est pas grave, c’est votre libre choix et vous en avez le droit, mais ne vous octroyez pas le luxe ou l’outrecuidance d’insulter gratuitement, sans gêne et sans scrupule la foi et la religion d’autrui.
 
Je suis désolé mais un ancien élève du Collège Saint Gabriel ne devrait pas tenir de tels propos et faire ce genre de comparaison. Mes amis, je dirai même mes frères musulmans que je connais bien et avec lesquels j’ai fréquenté les mêmes établissements privées catholiques, connus pour le culte du savoir,  ne prononceront jamais de tels propos. Ils ont reçu dans ces prestigieux établissements, une formation remarquable pour être des acteurs du développement. On leur a inculqué des valeurs intrinsèques comme le respect d’autrui, l’amour du prochain, l’humilité, etc. J’avais de l’estime pour vous, je voyais en vous  un rassembleur, il n’en est rien de tout cela. Revoyez votre  copie car cette posture et cette attitude vous éloigneront toujours du chemin qui mène vers le palais présidentiel…
 
Notre cher pays le Sénégal est un pays où règnent la paix et la cohésion sociale, c’est une richesse que nous devons maintenir et préserver. De grâce respectons les croyances et les religions des autres, sans heurter leur foi et leur sensibilité.
 
Hippolyte Seck

mardi 22 juillet 2014

Quatorze régles de vie illustrées marrantes mais veridiques

1 - L'argent ne fait pas le bonheur mais il est plus marrant de pleurer en Jaguar qu'à vélo.
 F Type        
2 - Pardonne à ton enemi mais n'oublie jamais le nom de ce con.

 
3 - Aide ton prochain quand il est dans la merde et il se souviendra de toi dès qu'il y sera à nouveau.
 
4 - Beaucoup de gens sont en vie seulement parce qu'il est illégal de les tuer.

5 - L'alcool ne résout pas les problèmes mais l'eau et le lait non plus.
 
6 - Ne vous disputez jamais avec un imbécile. Il vous fera descendre à son niveau et il gagnera par expérience.
 
 7 - Il ne faut pas avoir peur des chevaux sous le capot mais de l'âne derrière le volant.

8 - Ce ne sont pas les enfants sur la banquette arrière qui font les accidents mais bien les accidents sur la banquette arrière qui font des enfants...
Baiser sur la banquette arrière

9 - L'argent n'a pas d'odeur mais quand on n'en a pas, ça sent la merde.

10 - Quand tu t'adresses à une femme, il faut un sujet, un verbe et un compliment.

11 - Les femmes qui se vantent d'être courtisées par beaucoup d'hommes ne devraient pas oublier que les produits à bas prix attirent beaucoup de clients.

12 - Un comprimé (con primé) n'est pas forcément un imbécile récompensé.

13 - Mieux vaut se taire et passer pour un con que de l'ouvrir et ne laisser aucun doute sur le sujet.

14 - C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son que tant de gens paraissent brillants avant d'avoir l'air con.