jeudi 18 octobre 2012

NOUVEAUX TYPES DE SENEGALAISES... ! Redresser le Sénégal est-ce possible?


 




Le Sénégal a basculé dans l’indicible ! Le spectacle qu’il offre quotidiennement à ceux qui ont appris, tant soi peu, à s’indigner, dans un pays où l’on couvre tout du voile du « masla », est indescriptible. Sans exagération aucune, c’est le début de la tyrannie dont parlait Platon dans ce texte : « Quand les pères s'habituent à laisser faire leurs enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne connaissent plus au-dessus d'eux d'autorité de rien ni personne, alors, c'est là, en toute beauté et en toute jeunesse, le début de la tyrannie » Platon, 400 ans avant J.-C.

Mais je vois d’ici le hochement de tête de ceux qui ont peur de se regarder dans le miroir, et le rire moqueur de ceux qui ne s’étonnent pas. La situation est tellement préoccupante qu’elle mérite méditation et contemplation. Notre pays marche sur la tête, avec un inversement des valeurs qui donne le tournis. Brûler le feu rouge, pisser dans la rue, agresser, mentir, voler, détourner les deniers publics, etc., sont autant de comportements avec lesquels les Sénégalais se sont familiarisés.

La marginalisation par rapport aux valeurs de la République et de la société devient un élément « d’ascension sociale ». Plus on est dans le « socialement incorrecte », plus on est adulé, voire chouchouté. Ce n’est pas étonnant que les Ndèye Guèye, Oumou Sow, Aïda Patra, Amina Poté, Salam Diallo, Paco Jackson, El Hadj Diouf, etc., deviennent des modèles.

C’est le cas aussi dans le milieu politique où des ministres sont devenus des milliardaires en un temps record, alors qu’ils ne gèrent ni société ni patrimoine. Ces derniers ne s’encombrent d’aucune vertu. Pour eux, la fin justifie les moyens. La parole donnée n’a aucune valeur. Ils volent, comme des mange-mil, d’une prairie à une autre. C’est l’espèce des transhumants qui sont nourris aux « Ogm » de la politique politicienne.

Conséquence, nos prisons croupissent sous le poids des voleurs de poulets, au moment où les « voleurs de la République » arrosent au champagne leur exploit.
Et s’il arrivait - ce qui est rare - que la justice poursuive l’un d’entre eux pour détournement de deniers publics, c’est son « marabout » qui montera au créneau pour le défendre auprès des hautes autorités. Des voleurs de la République sont protégés par des familles maraboutiques et personne ne lève le plus petit doigt. J’ai entendu l’un d’eux (voleurs de la République) dire qu’il était en mission à Rebeuss. Renversant !

Dans les quartiers, les populations ne peuvent plus dormir en toute tranquillité à cause des chants religieux, avec des haut-parleurs et de baffles ouverts au maximum. Ne prenez pas le risque de leur faire la remarque, de peur d’être taxé de mécréant…

Le plus étonnant, c’est lorsque chacun se fait le complice de tout le monde. On ferme les yeux sur ce qui est moralement condamnable. Le psychanalyste Serigne Mor Mbaye n’a pas tort de dire que le Sénégal vit sous une dépression masquée, une véritable mélancolie. C’est peut-être ce qui explique pourquoi certains de nos compatriotes adorent tout ce qui est superficiel. Le langage de la rue (dagaté, takh si rip, ya mé danél…) en est l’illustration. L’on préfère se confiner dans le mimétisme, plutôt que d’avoir un esprit inventif. Et dans ce cas, ceux qui incarnent la médiocrité, deviennent des stars, des modèles. Rien d’étonnant si Cheikhou Cheyrifou, Vaidéhi ont suscité, au pays de la Téranga, autant de curiosités coupables.

C’est connu, une société traumatisée, désespérée, a besoin de pilule, de tranquillisant, de « pansement affectif » pour ne pas disjoncter.

Elle devient perméable à toutes les rumeurs les plus irrationnelles
Le temps est alors venu d’entamer le processus de guérison de notre société, en ayant le courage de regarder dans le miroir

Cette introspection nous aidera à nous libérer de nos aliénations pour atteindre une qualité d’esprit supérieure par rapport à cette peur du réel. Le Sénégal a basculé, il est grand temps de le redresser !
 
Article lu sur le site de "Sénégal en danger"!

mercredi 17 octobre 2012

Economie verte : l'Afrique est bien partie, Acte I

La première journée du forum international des pionniers de la responsabilité Sociétale des Entreprises et de l’économie verte inclusive en Afrique organisé par l’Institut Afrique RSE et la Confédération des Entreprises Citoyennes de Tunisie le 21 et 22 novembre 2012 à Tunis sera entièrement consacrée à la croissance verte en Afrique.



Plusieurs signaux indiquent en effet une dynamique sur le continent. Le premier et probablement le plus important est la priorité qu’elle occupe désormais dans l’agenda des décideurs car sans politiques publiques ambitieuses et une fiscalité incitative, difficile d’impulser l’économie verte.

En mars dernier, le Ministère Tunisien de l’Environnement et du Développement Durable annonçait la mise en œuvre d’une refonte complète des politiques environnementales afin d’impulser l’émergence d’une croissance verte. Dans le cadre de la préparation du sommet Rio + 20 qui s’est tenu au Brésil, avec le soutien du Programme des Nations Unies pour le Développement et/ou de l’Environnement (PNUD / PNUE), les gouvernements africains ont organisé des ateliers nationaux de mobilisation des parties prenantes sur l’économie verte.

La 14ième Conférence Ministérielle Africaine pour l’Environnement (CMAE) qui s’est tenu le 14 septembre à Arusha en Tanzanie a fait le point sur Rio + 20 et adopté une feuille de route avec un chronogramme de projets sur l’économie verte en Afrique.

Dans son étude  « économie verte, opportunités de création de richesse et d’emplois » le Conseil Economique et Social du Maroc estime que les investissements projetés dans les secteurs des énergies renouvelables, de l’efficacité énergétique, de l’assainissement, de l’épuration des rejets liquides et de la gestion des déchets solides sont estimés à 20 milliards d’euros avec un potentiel identifié de création d’emplois de plus de 90 000 postes à l’horizon 2020.

Le Conseil Economique et Social du Mail a aussi consacré une session cet été aux opportunités offertes par une économie décarbonée dans le pays. En plus des études sur la croissance verte qu’elle vient de réaliser pour la Sierra Léone, le Rwanda et l’Ethiopie, on ne compte plus les initiatives et les fonds de green business de la Banque Africaine de Développement qui a véritablement pris le leadership sur cette question en Afrique.

A l’issue de leur rencontre du 20 et 21 mars dernier à Luanda en Angola, pour préparer la rencontre Rio + 20, les Ministres de l’Environnement de la Communauté des Pays de Langue Portugaise (CPLP) ont adopté une position commune. Dans la déclaration de Luanda, ils s’engagent à accélérer la transition vers l’économie verte et inclusive pour réduire la pauvreté conformément aux recommandations du PNUE. On note un intérêt particulier pour les zones côtières, la mer et l’économie bleue.

Le programme « Développement Economique Durable » de la Coopération Allemande (GIZ) et la Direction Générale de la PME du Ministère Algérien de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’Investissement (MIPMEPI) ont réalisé en mars l’étude « promotion des jeunes et des femmes dans l’économie verte en Algérie ». Il en ressort que le total d’emplois verts ou verdis pourrait passer de 447 962 en 2012 à près de 1 421 619 à l’horizon 2025 principalement dans le secteur des énergies renouvelables, de la récupération et de la valorisation des déchets, de la gestion de l’eau, du bâtiment vert à haute performance énergétique, des services liés à l’environnement et à la gestion des espaces verts.

D’après le PNUD Côte d’Ivoire, l’économie verte pourrait générer des milliers d’emplois dans le pays. La Banque de Développement des Etats de l’Afrique Centrale (BDEAC) vient de mettre en place un fonds pour le financement des projets d’économie verte au sein de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC). Cette dernière lancera bientôt une étude sur les opportunités d’emplois verts et de création d’éco-entreprises dans ses dix (10) Etats membres.

La BDEAC s’inscrit dans les pas du Fonds Africain pour les Biocarburants et les Energies renouvelables (FABER) dont M. Tall, son Président présentait récemment à Marrakech leur ambitieux programme pour l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables au Togo siège de l’institution.

L’Ile Maurice était l’hôte la semaine dernière du Dialogue régional sur l’économie verte pour les Etats insulaires de l’Océan Indien. Avec le soutien de l’Agence Française de Développement et du PNUD, le pays a lancé en 2008 le grand projet Maurice Ile Durable.

Dans son hommage au défunt Premier Ministre Ethiopien, le PNUE n’a pas oublié de rappeler que M. Zenawi a impulsé en Ethiopie une stratégie d’économie verte et résiliente au changement climatique avec une vision de pays à revenu intermédiaire neutre en carbone en 2025. Nul doute que son successeur poursuivra les projets engagés.

En plus des gouvernements, le secteur privé africain se positionne de plus en plus sur le green business. C’est le cas pour le Conseil National du Patronat (CNP) du Sénégal qui rappelait en avril dernier à l’issue d’une rencontre sur l’économie verte sa disponibilité à collaborer avec les autorités et à saisir les opportunités de green business tout en rappelant la nécessité de mettre en place un contexte législatif favorable. C’est probablement l’une des raisons qui a motivé la création cette année au sein de la Confédération Générale des Entreprises Marocaines (CGEM) d’une commission spécialement dédiée à l’économie verte.

Mais ces initiatives sont-elles suffisantes dans un continent qui s’urbanise à grande vitesse ? Quel rôle pour les collectivités territoriales ? Quelles sont actuellement les principales réalisations africaines dans le domaine de l’économie verte et du green business ? A suivre …














































Auteur : Thierry Téné
Source : Greenetvert

jeudi 11 octobre 2012

Entretien avec Miss Petite Côte 2012 : Thésou Ndiaye

Miss Petite Côte 2012 : Thésou Ndiaye se dévoile

Marie Thérèse Ndiaye plus connue sous le nom de Thésou Ndiaye est devenue la plus belle fille de la petite Côte. En effet suite à une élection qui s’est tenue au COCO BEACH HOTEL ce samedi 06 OCTOBRE 2012, la jeune mbouroise s’est vue couronner Miss et devra représenter la petite cote à la finale nationale de miss SENEGAL qui se tiendra au courant du mois de DECEMBRE 2012.

Dans cet entretien exclusif qu’elle nous a accordé, la miss petite côte revient sur les temps forts de son élection et nous fait découvrir sa personnalité. Entretien.


Bonjour, pourriez-vous vous présentez à nos lecteurs ?


Bonjour à vous, je m’appelle Marie Thérèse Ndiaye plus connue sous le nom de Thésou, étudiante en management à l’ISM MBOUR. J’ai 23 ans et je viens d’être élue miss petite côte pour concourir à l’élection MISS SENEGAL.

Quels sentiments vous animent au lendemain de cette élection ?comment l’avez- vous vécue ?

Je dirais avec beaucoup d’émotions et une très grande fierté. J’ai même eu à pleurer sur le coup et il m’était difficile de parler. Il faut dire aussi qu’au début j’avais un peu le tract mais j’étais très confiante et tout s’est bien déroulé dans l’ensemble.

Dites-nous Thésou, qu’est ce qui vous a poussé à participer à cette élection, à vouloir devenir MISS SENEGAL ? Quelles ont été vos motivations ?

La passion je dirais. En effet, j’ai de tout le temps été une passionnée de tout ce qui est mode, mannequinat, beauté etc. Et aussi à chaque fois que je regardais la télé, les défilés entre autres je me disais que ces filles n’étaient pas plus belles et n’avaient pas plus d’atouts que moi. Donc pourquoi ne pas tenter ma chance ? Et aussi , il faut dire que j’avais un pied dedans vu que je faisais déjà des poses photos pour de la publicité.

Donc vous-êtes mannequin ?

Non pas tout à fait, disons que je n’évolue pas concrètement dans le milieu, je ne suis pas dans une agence, je ne fait pas de défilés mais il m’arrive de faire des poses photos et c’est plutôt par passion.

Revenons aux temps forts de votre élection, selon vous qu’est ce qui a été déterminant à votre consécration ? Quels ont été vos atouts par rapport aux autres concurrentes ?

Difficile à répondre mais bon je pense que c’était un ensemble de tout. L’apparence, la démarche, l’expression, tout cela a été déterminant. J’ai réussi à surmonter le stress, à rester sereine et je m’en suis bien sortie grâce à Dieu.

Et le public, parce qu’on vous a vu sur le net notamment sur Facebook faire appel aux Mbourois de venir vous soutenir?

Ah oui l’appui du public a été aussi très déterminant ! Mes amis, mes proches et même des personnes que je ne connais pas personnellement, des couturiers du marché central, ils étaient tous présents avec des posters à mon effigie pour me soutenir. Et c’était vraiment extraordinaire !


Comment appréhendez-vous la suite de l’aventure ? Vous êtes appelées à représenter la petite cote au niveau national, comment vous vous y préparer ?

D’abord je suis très confiante par rapport à la suite. En tout cas je suis prête à me battre et je donnerais tout pour représenter dignement la petite cote. Je travaille avec une équipe qui me conseille, m’encadre. Il y a par exemple l’agence de mode KYOTO dirigé par mon manager Théo Diémé qui me conseille beaucoup et j’ai eu aussi à bénéficier du conseil d’anciennes candidates notamment de la deuxième dauphine de Miss SENEGAL 2011. Mon Directeur et professeur à l’ISM aussi m’aide beaucoup avec des cours de développement personnel.

Donc Thésou se sent enfin prête, vous- vous voyez déjà Miss SENEGAL ?

Ah bien sur, pourquoi pas ? Je suis très optimiste et confiante et je mettrais tous les atouts de mon coté pour que la petite cote remporte la couronne et je compte aussi sur le soutien de tous pour y arriver.

Une question qui va sûrement beaucoup intéresser nos lecteurs hommes. Alors la plus belle fille de la petite cote a-t-elle un copain ?

J’hésite à répondre, je n’aimerais parler de ma vie privée ici.
Dites-nous simplement si oui ou non Thésou est un cœur à prendre ?
(Après un temps de silence) Non je n’ai pas de petit ami.


Et pourquoi ? Vous êtes jeunes, belle et de surcroit MISS, les prétendants ne doivent pas manquer ?

Oui ca c’est sûr, mais seulement pour l’instant je privilégie mes études et ma carrière de Miss.

Comme à l’accoutumée chaque miss est porteuse d’un projet social, si Thésou Ndiaye élue Miss Sénégal, quel sera votre cheval de bataille ?

Alors je compte m’investir sur la lutte contre le cancer du sein et du col de l’utérus. J’ai vu que c’est un fléau qui fait des ravages surtout en milieu rural car la prise en charge est malheureusement souvent tardive et ça tue parfois beaucoup plus que le SIDA même. Ainsi je compte mener cette lutte surtout pour ces femmes démunies qui se battent pour faire nourrir leur famille et qui malheureusement sont parfois atteintes et n’ont pas de quoi se soigner. Je ferais de ma priorité la gratuité du dépistage du cancer, la mammographie, le frottis vaginal. C’est une cause qui me tient à cœur et je compte faire la plaidoirie partout ou besoin se fera. D’ailleurs je compte aller à la rencontre du médecin chef du district sanitaire de Mbour pour voir la possibilité d’organiser une journée de dépistage gratuite.

Le mot de la fin ?

Ce sera des remerciements à l’endroit de tous ceux qui m’ont soutenu, ma famille, mes amis, camarades d’école, mes connaissances etc. Vraiment tout le monde je ne pourrais pas tous les citer mais je leur dit à tous un grand merci du fond du cœur et compte sur leur soutien et la mobilisation de toute la petite côte pour la finale.


Propos recueillis par Assy Ndiaye

mercredi 10 octobre 2012

Pourquoi au Sénégal il y a tant de diplomés au chômage? Mr Joseph Diouf explique.

La théorie de la croissance économique en général et de la croissance endogène en particulier souligne l'importance essentielle dans l'enclenchement du processus de développement économique et le maintien d'un niveau élevé de croissance de ce qu'on appelle le "capital humain".
Il s'agit au fond d'une idée assez simple : Pour qu'un pays connaisse un développement rapide , faut il encore que sa population soit bien éduquée et en bonne santé. Pour s'en convaincre, il suffit d'observer le rattrapage économique extrêmement rapide des pays asiatiques. Cette notion de "capital humain" couvre une grande variété d'éléments , à la fois des "savoirs", des "savoirs-faire" et des savoirs-être".
Le "capital humain" peut se définir de diverses manières. L'OCDE le définit comme les "connaissances , qualifications, compétences et autres qualités possédées par un individu et intéressant l'action économique".
Les données statistiques relatives à l'économie sénégalaise affichent un paradoxe inquiétant. Malgré le grand nombre des diplômes du supérieur et une population en grande partie éduquée, le Sénégal n'a pas réussi à enclencher un processus de rattrapage rapide. Pire encore, le taux de chômage des diplômes est de loin plus élevé que la moyenne nationale.
Autrement dit, plus vous êtes diplômé, moins vous aurez la chance de trouver un emploi. L'université sénégalaise est-elle entrain de produire des chômeurs potentiels en cherchant à multiplier le nombre de diplômes sans se soucier de la qualité?
Ou bien est ce un problème au niveau du système productif qui n'affiche qu'un faible besoin de diplômes?
Une lecture plus profonde de la structure économique du Sénégal laisse apparaître des signes de faiblesses et des anomalies tant du coté de l'offre que celui de la demande de travail.
Du coté de la demande, le manque d'investissement dans des secteurs à fort contenu technologique et à haute valeur ajoutée fait que le besoin en main d' œuvre hautement qualifiée n'est nullement exprimé. Il ne s'agit cependant d'accuser les entreprises de tous les maux dans le domaine de l'emploi mais seulement de souligner que le taux de chômage effectif ne résulte pas d'un équilibre sur lequel nous n'aurions aucune prise.
L'équilibre en question résulte de la politique économique et des comportements des firmes autant que l'attitude des demandeurs d'emploi.
Du coté de l'offre, des anomalies demeurent persistantes. En effet, notre université a souvent cherché à multiplier le nombre de diplômes sans se soucier de la qualité des diplômes. Cette dite qualité dépend largement des universitaires dont le parcours d'un certain nombre peut paraître parfois douteux.
A l'évidence, une formation de meilleure qualité peut améliorer le secteur productif susceptible d'engager ces diplômés. 
 Aujourd'hui , la situation du chômage en général et celui des diplômés en particulier fait qu' un antibiotique ne suffirait pas à guérir le malade dans la mesure ou le mal nécessite un traitement long.
Aujourd'hui, la conception du"capital humain" a beaucoup évolué. Elle n'est plus définie et évalué par rapport à des connaissances acquises et à des savoirs précis mais elle englobe aussi les caract
éristiques individuelles et au delà de ce que l'on a déjà appris , la capacité à apprendre.
L'une des tendances actuelles consiste donc à dissocier de plus en plus connaissance et compétence. On considère aussi de plus en plus que l'acquisition des connaissances et des qualifications n'est pas seulement le fait de la formation initiale mais qu'elle se déroule tout au long de la vie.
Dans ce contexte, deux économistes, Lundvall et Johnson , ont ainsi proposé d'analyser le savoir en quatre catégories qui se complètent mais ne se recouvrent pas:
1. Le savoir "en quoi" qui désigne la connaissances des "faits",
2. Le savoir "pourquoi" qui recouvre la connaissance des principes et des lois auxquels obéissent la nature , l'intelligence humaine et la société;
3. Le savoir "comment" qui exprime l'aptitude à effectuer des taches;
4. Le savoir "qui", qui désigne l'aptitude à coopérer et à communiquer avec différents types de personnes et de spécialistes. Ces visions nouvelles remettent en question les politiques de formation.
 
Ingénieur Télécoms, à Tunisiana  
Diplômé de l’École Polytechnique de Montréal

mardi 9 octobre 2012

Recontre entre les perroquets prostituées de la religieuse et les perroquets mâles du curé

 

Une religieuse rend visite au curé :

 - Voilà mon père: au cloître nous avons un problème avec nos deux perroquets. Ce sont des femelles et elles ne savent dire qu'une seule phrase abominable : "Nous sommes des prostituées, voulez-vous vous amuser?"

- C'est affreux ! s'exclame le prêtre. Mais j'ai peut être une solution. Apportez-moi vos perroquets, je les mettrai avec les miens qui sont des mâles, et auxquels j'ai appris à prier et à lire la Bible. Ainsi, vos deux femelles apprendront à louer et à adorer Dieu.

Le lendemain, la religieuse apporte ses perroquets au prêtre qui les met comme convenu dans la cage des deux mâles. Alors les deux perroquets femelles engagent la conversation :

 - Nous sommes des prostituées, voulez-vous vous amuser ?

 Et l'un des perroquets mâles dit à l'autre :

- Tu peux ranger ta Bible, mon vieux ! Nos prières sont enfin exaucées...

Saut supersonique: Le record de Felix Baumgartner en cinq chiffres


Créé le 09/10/2012 

L'Autrichien volant va essayer de battre une multitude de records avec un saut à la frontière de l'espace...

Il est surnommé «Fearless Felix», «Felix sans peur». Ce mardi à 14h30 (heure de Paris), si la météo le permet, Felix Baumgartner, un ancien militaire autrichien de 43 ans, va tenter de battre le record du monde du plus haut saut en parachute et de devenir le premier homme à passer la vitesse du son sans l'aide d'un véhicule. Le sponsor de l'événement, Red Bull, a prévu de diffuser l'événement en direct . Retour sur ce saut de tous les dangers en cinq chiffres.
120.000 pieds (36,5 km): L'altitude à laquelle le ballon de 100 mètres de diamètre va emmener Felix Baumgartner
L'ascension devrait durer entre deux et trois heures. Ce n'est pas encore la frontière officielle de l'espace (située à 100 km), mais c'est tout comme. Il y fait noir, il y fait froid (-60°C) et il n'y a presque pas d'oxygène. Pire, le sang et la salive se mettent vite à bouillir sans la protection du scaphandre pressurisé, à cause de la pression très faible de l'air (2% de celle au sol). Par le passé, des expositions accidentelles au vide spatial ont montré qu'un humain dispose d'une quinzaine de secondes avant de perdre connaissance. Contrairement à une idée véhiculée par les films de science-fiction, il n'explose pas et peut survivre entre une et deux minutes avant que les dégâts soient irréversibles.
31,3 km: Le record actuel
Il a été établi par le colonel de l'US Air Force Joseph Kittinger en 1960 dans des conditions beaucoup plus low-tech. A cause d'une micro-fissure dans son gant, sa main s'était notamment engourdie mais il en avait retrouvé un usage normal par la suite.
1.110 km/h: la vitesse du son (à cette altitude)
Baumgartner devrait atteindre cette «barrière» fictive 40 secondes après avoir sauté. Il devrait rester à Mach 1 pendant une vingtaine de secondes. Que se passera-t-il au moment où il deviendra le premier homme «supersonique»? On ne sait pas exactement. Mais selon les scientifiques, sans doute pas grand chose, à condition qu'il soit bien positionné. Grâce à la faible densité de l'air à cette altitude, l’interaction entre les ondes de choc devrait être minimale et ne pas perturber sa chute. Joseph Kittinger s'était approché de ce cap sans l'atteindre complètement. Lors d'un saut préparatoire, il s'était mis à tournicoter sur lui même à plus de 140 tours/minute et avait perdu connaissance. Il n'avait dû sa vie qu'au déploiement automatique de son parachute.
6 minutes: la durée pendant laquelle le Baumgartner sera en chute libre
Il devrait ouvrir son parachute à 5.000 pieds (1.500 mètres d'altitude) et finir sa descente en une dizaine de minutes. Au total, le saut devrait durer un peu moins de 20 minutes.
2: Le nombre de sauteurs qui sont morts dans les années 60
En tentant de battre le record de Kittinger.

lundi 8 octobre 2012

Elle tatoue son nom sur le bras de son ami au cutter!



Le Britannique Wayne Robinson aurait préféré ne jamais rencontrer Dominique Fisher


Lorsqu’un soir, le jeune homme de 24 ans fit la connaissance de Dominique Fisher, séduisante demoiselle, il ne put lui refuser un petit week-end en amoureux dans son appartement à Blackpool. Au terme d’une nuit de débauche riche en sexe et consommation d’alcool, Wayne a été « marqué » à vie.

Après une nuit torride, le corps de Wayne était parsemé de cicatrices, le prénom de Dominique était même gravé sur sa peau. « J’étais allé chez elle pour le sexe, pas pour me faire tatouer. Je ressemble à Michaël Scofield de Prison Break maintenant. Je n’arrive pas à croire qu’elle m’ait fait subir cela »

A l’aide d’un couteau, Dominique n’y a pas été de main morte. Sur l’épaule droite de Wayne, elle a gravé son prénom. Son épaule gauche et bras gauche n’ont pas été épargnés non plus. « C’était atroce lorsque je me suis levé », poursuit Wayne.

« J’avoue que j’étais complètement dégommé. Je ne me souviens même plus avoir fait l’amour. Alors que, selon elle, on se serait adonné à plusieurs positions ». Wayne s’est procuré quelques antidouleurs, mais ne peut pas se permettre financièrement de se faire retirer les cicatrices au laser.

« Dominique était tellement attirante que j’ai immédiatement accepté sa proposition. C’était évident qu’elle ne voulait que du sexe. Mais lorsque je me suis réveillé, elle ronflait et moi je baignais dans mon sang. J’aurais dû me tirer de là le plus vite possible. Je n’ai même pas réveillé Dominique. »

Pendant le procès, qui a duré deux jours, Dominique, qui possède elle-même huit tatouages, a déclaré que Wayne lui avait demandé de le tatouer. Dominique connaîtra sa peine ce mois-ci.

A 12 ans, elle a un Q.I supérieur à celui d'Albert Einstein considéré comme l'homme le plus intelligent au monde.



Olivia Manning, une Britannique âgée de seulement 12 ans, a été acceptée dans le prestigieux club Mensa qui regroupe des membres à fort potentiel intellectuel parce qu'elle possède un quotient intellectuel de 162 points, soit 2 points de plus qu'Albert Einstein.

Olivia Manning, âgée de seulement 12 ans, n'est pas un enfant comme les autres. Et pour cause, elle a été admise dans le prestigieux cercle de la Mensa, club international fondé à Oxford en 1946 qui regroupe aujourd'hui environ 122 000 membres à fort potentiel intellectuel, après avoir découvert qu'elle avait un Q.I de 162 ! Cette habitante de Liverpool dépasse ainsi de deux points deux physiciens et théoriciens considérés comme les plus intelligents au monde : l’Allemand Albert Einstein et le physicien-théoricien anglais Stephen W. Hawking.

Est-ce que tu peux m’aider à faire mes devoirs ?
Aujourd'hui, Olivia se dit amusée par ses facultés, et ne voit pas de problèmes à ce que ces camarades lui demandent de l'aide pour leur scolarité. "De plus de plus de gens viennent me voir pour savoir si je peux les aider à faire leurs devoirs. Moi j'aime juste les défis et leurs devoir m’aident à réfléchir", explique-t-elle au Daily Mail. Cette jeune habitante du quartier de Norris Green avoue ainsi qu'elle est capable de mémoriser rapidement des informations et de se les remémorer dans leurs intégralités. Plus jeune elle a appris ses tables de multiplication en seulement 24 heures.

La Mensa, l'école des surdoués
Mais avec les membres de la Mensa, Olivia aura des problèmes bien plus compliqués à résoudre. "Nous lui avons donné un travail supplémentaire à faire afin de déterminer son potentiel," a dit Stacey Meighen, enseignante et représentante du club. Grâce à cette intégration dans ce "club des cerveaux", Olivia Manning pourra avoir une éducation adaptée à son intelligence, afin de développer tout son potentiel. C'est en tout cas ce que pense Kay Askew, dirigeante de la North Liverpool Academy : "Le succès passé du club Mensa montre comment il donne un soutien adéquat aux élèves. Ainsi, ils pourront exceller dans bien des domaines et devenir encore meilleur demain."

Une mère écrase par accident sa fillette de 14 mois


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INSOLITE Publié le 08 Octobre 2012



Le drame est survenu vendredi sur les coups de 14 heures à Lannemezan dans les Hautes-Pyrénées.

Juliette, une petite fille, àgée de 14 mois, est morte après avoir été écrasée par la voiture de sa mère, rapporte " Le Parisien.fr ".
Les premiers éléments de l'enquête indiquent qu'il s'agit d'un accident. Selon le site du quotidien, la jeune femme rentrait dans la cour de la maison familiale quand la petite, masquée par un pilier, s'est mise sur le chemin du véhicule. L'enfant a été tué sur le coup.
La mère de Juliette hospitalisée
Une voisine confie au quotidien régional " La Dépêche " avoir été alertée par " les hurlements de la maman ". " C'est dramatique et injuste ", a ajouté cette amie de la famille. " Elle va se sentir coupable toute sa vie ", a déclaré un autre proche au journal. Très choquée, cette mère de deux petites filles, àgées de 7 et 4 ans, a été hospitalisée.
Elle n'a pas encore été entendue par la police. Quant à l'enquête sur les circonstances de l'accident, elle a été confiée à la gendarmerie de Lannemezan.

Elle tue son mari, le dépèce et le donne à manger à leurs enfants!


 

Katherine Knight fut la première Australienne condamnée à la prison à perpétuité sans possibilité de remise de peine.

Cette femme a fait preuve d’une violence extrême. Elle a par exemple cassé les dents de l’un de ses ex-maris et égorgé le chiot d’un autre de ses maris devant les yeux de celui-ci.

Elle a ensuite poignardé à 37 reprises son troisième mari avec un couteau de boucher. Elle l’a ensuite dépecé avant de pendre sa peau dans l’entrée du living, elle l’a décapité pour mettre sa tête dans une casserole, elle a mis ses fesses au four et a préparé des légumes pour accompagner le menu qui était destiné aux enfants. Heureusement, la police est intervenue avant que ceux-ci ne rentrent à la maison.

Insolite! Mille aiguilles sous la peau.





Un piercing hors pair!
Un Canadien âgé de 34 ans s’est attaqué mercredi au record du monde de piercing avec l’objectif avoué de s’enfoncer mille aiguilles sous la peau.

Un casque stéréo vissé sur la tête et face à une photo de sa défunte mère semblant le dévisager, Brent Moffatt, les mains gantées, a commencé son oeuvre en s’enfonçant la première aiguille stérilisée et lubrifiée dans le pied gauche. Il a ensuite poursuivi sa tâche à raison d’une aiguille tous les six millimètres, selon des lignes régulières allant de la pointe des orteils à la cheville.

« Sur le pied, c’est un petit peu plus douloureux que ce à quoi je m’attendais, mais je peux faire avec », a dit cet homme qui pratique lui-même le piercing à titre professionnel.

Moffatt a estimé qu’il lui faudrait deux heures pour battre le record actuel (200 aiguilles) et il espère atteindre le millier d’aiguilles sur le pied et la jambe en six heures.

Avant même de s’attaquer au record de piercing, il ne passait pas inaperçu avec des trous de quatre centimètres dans le lobe des oreilles où il accroche des mousquetons normalement destinés à l’escalade.

Avant d’entreprendre de s’enfoncer son millier d’aiguilles, Moffatt a pris des antibiotiques, s’est offert une bonne nuit de repos et un solide petit déjeuner. Il a aussi parfait le tatouage qui lui court du coude au poignet.

Quand il aura terminé, il a prévu de garder les aiguilles pendant cinq minutes avant de les enlever et il dit ne pas craindre de cicatrices des quelques 2.000 petits trous qu’il se sera fait s’il parvient à atteindre son objectif. Il enverra alors une cassette vidéo, des déclarations de témoins et des extraits de presse aux responsables du Livre Guinness des Records afin que le sien soit homologué.