Une
femme politique koweïtienne, nommée Salwa al Mutairi, propose que l’on
achète des prisonnières de guerre pour en faire des esclaves sexuelles
au service exclusif de la libido de ses compatriotes qui ne peuvent
résister aux démons de minuit.
Salwa al Mutairi est
une femme politique koweïtienne, animatrice d’une émission de
télévision, qui a récemment perdu aux élections législatives. Mais elle
n’a pas manqué de faire parler d’elle en proposant une législation
au-delà de tout entendement. En outre, elle souhaiterait que son
pays puisse acheter des prisonnières de guerre, non-musulmanes, afin de
les transformer en esclaves sexuelles.
L’objectif ? Permettre aux koweïtiens « décents », « dévoués » et « virils », de pouvoir assouvir leur désir sans commettre d’adultère. Ben oui, violer n’est pas tromper, c’est bien connu ! Salwa al Mutairi a également une idée bien précise de l’endroit où trouver ces femmes dans le monde. « Par exemple, il y a sûrement eu des prisonnières russes lors de la guerre de Tchétchénie », explique-t-elle. « Alors allons les acheter pour les importer. C’est mieux que de voir nos hommes avoir des relations sexuelles interdites. »
Cette idée lui serait venue, après que de riches et religieux koweïtiens l’aient informé de leurs affres, de leur crainte d’être séduits par le comportement immoral ou la beauté de leurs servantes.
Afin d’y remédier, cette femme conclut qu’il serait mieux d’acheter des femmes, de « bonne esclave» à des fins sexuelles dans une agence. Elle s’engage à la création de bureaux spéciaux sur le modèle des agences qui fournissent les servantes, pour fournir les concubines sexuelles, dont la gestion serait confiée à des marchands pieux.
On est où là???????????????????
Avec News.aufeminin.com
L’objectif ? Permettre aux koweïtiens « décents », « dévoués » et « virils », de pouvoir assouvir leur désir sans commettre d’adultère. Ben oui, violer n’est pas tromper, c’est bien connu ! Salwa al Mutairi a également une idée bien précise de l’endroit où trouver ces femmes dans le monde. « Par exemple, il y a sûrement eu des prisonnières russes lors de la guerre de Tchétchénie », explique-t-elle. « Alors allons les acheter pour les importer. C’est mieux que de voir nos hommes avoir des relations sexuelles interdites. »
Cette idée lui serait venue, après que de riches et religieux koweïtiens l’aient informé de leurs affres, de leur crainte d’être séduits par le comportement immoral ou la beauté de leurs servantes.
Afin d’y remédier, cette femme conclut qu’il serait mieux d’acheter des femmes, de « bonne esclave» à des fins sexuelles dans une agence. Elle s’engage à la création de bureaux spéciaux sur le modèle des agences qui fournissent les servantes, pour fournir les concubines sexuelles, dont la gestion serait confiée à des marchands pieux.
On est où là???????????????????
Avec News.aufeminin.com
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.